Les Carnets de P.A.Barrat
De juillet 2015 jusqu’à fin novembre 2017, Patrice Barrat a publié 89 carnets politiques, poïetiques, poétiques sur Linkedin et certains sur Facebook. En voici quelques uns, dont le premier et le dernier. Voir sur linkedin
LA LIBERTÉ DE FIDEL…(CASTRO)
À la différence de PPDA, j’avais eu, en 1986, une véritable ITW de Fidel CASTRO. C’est marrant, je n’ai eu peur qu’à un seul moment. En tout cas, il était tout courroux…Alors que j’étais en quête d’une trace de mon film de 24 minutes sur la Liberté à Cuba, je viens d’en trouver trace sur le Tube
BATACLAN: en souvenir de Lola Ouzounian..
Lors de l’attaque du Bataclan, Lola Ouzounian, 17 ans, figurait parmi les victimes. Pendant plusieurs jours, il fût impossible de savoir si elle appartenait à la catégorie ” Blessés non-identifiés” ou “Morts non-identifiés”.
CARNET DE CÉLÉBRATION 29 septembre 2017
Son aube, il y a plusieurs décennies, a vu naître Claire, Ma sœur, mon amie, mon autre « maman » – puisqu’elle ne s’est jamais départie de cette mission à elle confiée par mon père en prison vu que not’ maman était trop occupée elle aussi Par le combat pour quelque indépendance d’un pays …
MON PREMIER LIVRE! “LE POUVOIR DE l’AUBE”.
Mon premier livre ! “Le pouvoir de l’aube” Hier, j’ai “achevé” le premier ouvrage de ma vie. Certes, il m’est arrivé d’accomplir quelque ouvrage. “Par contre”, je n’avais jamais commis de livre. J’en riais plus ou moins en racontant l’histoire vécue aux Nouvelles Littéraires où l’esprit critique de mon ami
DE LA POÏÉTIQUE APPLIQUÉE AUX ÉLECTIONS
VOILÀ, C’EST DEVENU CELA, MON ACTIVITÉ PRÉFÉRÉE, envers et contre tout : LA POÏÉTIQUE… La poïétique a pour objet l’étude des potentialités inscrites dans une situation donnée qui débouche sur une création nouvelle.
REPLI/ RETREAT
Chers amis, de France ou d’ailleurs. Après mon écrit de ce matin, j’ai décidé, pour quelques temps, de moins communiquer ici.. J’aimerais mettre mon énergie dans le fait de me poser, de finir d’écrire quelques bouquins inachevés, de regarder la nature, de m’observer moi-même…
OPPRESSIONS…
POURQUOI UN SENTIMENT D’OPPRESSION MONTE-T-IL DANS NOS SOCIÉTÉS ? UN RÉVEIL DES CONSCIENCES VA-T-IL AVOIR LIEU? LA TENSION SEMBLE GRANDE en France et ailleurs.
Pour des droits de l’homme modernes, universels et réellement respectés…
Voilà, il fallait bien que cela arrive un jour – que cel m’arrive ? – , je partage avec vous tous que je ne connais pas vraiment, le coeur de ma démarche pour les années qui viennent.
Les Systèmes, corps du texte et du délit.
Au commencement, faisons scolaire, il y a un système. Toujours, il y a un système de nos jours. Système de pensée ou système à l’oeuvre.
Je viens de comprendre – à mon corps dépendant et à mon âme esquivée – que c’est cela : tout système opprime.
DURE FRANCE, un poème sous la libéral-démocratie cynique, sous la mondialisation dévoyée repartie pour un tour… Février 2016
Le samedi 25 février dernier, sur le bateau de Quiberon à Belle-Ile, je me suis d’un seul coup laissé surprendre écrivant cela avec mon pouce sur mon téléphone en voyant le drapeau français flotter au vent, le continent s’éloigner, des Gloires surgir au loin sur l’Océan.
Sur le sentiment d’impuissance.
Cela fait des jours que je cherche à dire quelque chose sur ce qui “envahit” “notre” espace et que nous ne savons pas accueillir. J’essaie de transposer pour qu’une idée se dégage et touche, pour que les frontières mentales ne ressemblent pas aux frontières physiques…
Le regard de l’autre, c’était moi
Je n’ai pas pris, il y a quelques jours, le temps d’en parler. Un peu comme si les belles choses pouvaient attendre…
A Tunis, c’était jour d’expo, de vernissage même. Youssef Seddik – dont je ne répèterai jamais assez ma fierté d’être parmi ses amis – y était convié. Et votre serviteur aussi.
Pièges (du terrorisme)
Il est presque tentant de rester sans voix devant une violence qui se veut à la fois rétrograde dans sa manière et ” moderne” dans sa dissémination. Il faut se forcer donc à dire pour ne pas tomber dans le piège de ce maudit sentiment d’impuissance que d’aucuns voudraient “nous” imposer.